Last Dream
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Nero, présentation

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Message par Nero Ven 6 Nov - 23:09

Lui :

Nom : Inconnu à ce jour
Prénom : Nero
Date de Naissance : 11 juillet 1985
Date de Mort : 15 avril 2007
Conditions du décès : Lors d'un crash aérien
Depuis combien de temps le décès a eu lieu:
Droite ou Gauche ? : Gauche
Pouvoirs :
-Maîtrise l'eau dans tout ses états
-Peut voler quelques brèves minutes

Physique : Encore une question difficile à résoudre. 'Tendez deux minutes qu'il s'immobilise que je puisse décrire on en reparlera après. Cheveux long gris avec des refles bleus et les yeux bleus foncés. Non, on ne peut pas dire qu'il ressemble à tout le monde. En faite, il ne ressemble à personne d'autre tant par son allure naturelle que par ses vêtements. Même si Nero ne rechigne pas à enfiler un jean et un sweat, ce n'est pas vraiment à son goût. Se fichant pas mal de ce qu'on dit, il prend généralement au petit bonheur de la chance. Et vu que le contenu de son armoire n'est pas très varié, ça tombe souvent sur les mêmes fringues. Un débardeur blanc cours, un pantalon noir et un manteau noir jamais en place, laissant apparaître ses épaules finement musclées. Si il y a bien quelque chose qu'on peut dire au premier coup d'œil qu'il a une silhouette carrément efféminée. Ce ne sont pas ses cheveux long qui viendront contredire. Il est hors de question pour lui d'y mettre quelques coups de ciseaux. Pour le reste, son visage est assez harmonieux et ne comporte pas de particularité hormis son extrême finesse. Dans ses moments de bonne humeur, c'est un joli sourire carnassier qui vient s'étaler sur ses lévres. Légèrement flippant mais pas dégueu du tout à regarder.

Signes distinctifs : Peut vraiment flanquer la pétoche rien qu'en vous fixant avec un sourire. J'vous jure, ya de quoi être pétrifié!

Moral : Vaste question à laquelle je vais tenter de répondre sans faire d'impair ni trop me planter. En toute honnêteté, Nero n'a rien d'un ange et aurait plutôt tendance à se comporter à l'inverse. Comme il aime à le rappeler, ce n'est pas lui qui a choisi la porte où plus exactement, c'est un pur hasard qu'il ait emprunté celle de gauche. Vu son comportement de son vivant, la moindre des chose à son avis aurait été d'être envoyé en «enfer», celui dont on l'avait menacé durant toute son existence où autre part de tout aussi déplaisant au lieu d'être 'recruté' en tant qu'Ange. Voilà pourquoi sa manière d'agir, de penser n'a pas beaucoup changé depuis le jour de sa mort. Et que ceux qui pensent que son passage de vie à trépas l'a rendu plus conciliant rentrent à la niche: c'est sans doute pas trop différent d'avant, mais en pire.
Pour commencer, étant habitué à agir comme bon lui semble, la présence d'une entité supérieure qui contrôlerait ses agissement lui a toujours parue aberrante et même insupportable. Nerveux et ne tenant pas en place plus de cinq minutes, c'est un taré de première à qui il vient par fois des éclairs de lucidité. Sinon le reste du temps, il se met en rogne très vite et n'hésite pas à hurler les pires injures à la tête de ceux qui le contrarient. Trop colérique pour être raisonné même dans ses quarts d'heure de bonne humeur, pas assez (pas totalement en tout cas) fou pour être déclaré «irresponsable». Son humeur de chien lui a souvent valu pas mal d'ennuis. Généralement on ne me contredis pas deux fois sans recevoir quelques coups. Après c'est quelqu'un de tenace et rancunier oulaaah, une vraie teigne qui peut se souvenir des années après d'une crasse qu'on lui aurait faite et chercher à s'en venger à tout prix. Pas un simple coup «réexpédié à l'envoyeur» mais juste les pires trucs. Son entêtement légendaire à quand même du bon: jamais il n'interrompra une tâche qu'on lui a confié sans raison valable et même si cela peut entrainer sa 'mort' -ce qui n'est plus valable depuis quelques temps, allez savoir pourquoi...-. Son dévouement pour le peu de gens qui lui sont importants est titanesque. Envers ceux là, la trahison est pour lui presque impossible. Cela fait parti de sa fierté, de son orgueil, après tout il ne reste pas grand chose d'autre que ça quand on a tout perdu, y compris la vie. Et tout ça par la faute d'un stupide-hasard-à-la-con! Il y a de quoi être perpétuellement enragé! Non?
Mais pardonnez, je m'emporte.
En fait, si on y réfléchit bien, la vie n'est qu'un amalgames de hasard heureux où malheureux qui forgent une personne et lui font penser telle où telle chose. Et puis qu-est- ce que le hasard? Hein? Je vous le demande...
Oups, je me suis de nouveau laissée allée. Pour continuer sur ma lancée et peut être même terminer, je dirais sans mentir que dans le fond, il peut être sympa à condition d'avoir des 'preuves' de la sincérité des gens en qui il place sa confiance. C'est aussi un grand gosse, franchement, vous en connaissez vous, des Anges psychologiquement stables qui s'amusent tout les soirs à guetter le ciel en quête d'un débarquement alien massif? Dévaler les couloirs du manoir en roller à toute allure où d'autres folie inracontable tant elles sont nombreuse? Pas un seul à part Nero, je pense. Et ça, c'est sans compter les idées qui lui traversent l'esprit comme ça sans crier gare, qu'il dit à voix haute bien souvent sans aucun rapport avec la conversation en cours avant de recommencer à gueuler sur tout et n'importe quoi, lançant des traits d'humour caustiques sans penser aux conséquences. Pourtant, dans ses actes, c'est bien la chose la plus surprenante, la plus effrayante aussi. Même avant de faire les pires conneries, il réfléchit à ce que ça va entrainer avec une précision implacable et presque sans failles. Malgré cette manie, ça reste un impulsif une fois 5 fois sur dix va frapper et parler après. Les cinq restants il parle et frappe après. On ne lui a jamais vraiment appris ce que c'était ma négociation et il vaut mieux l'écarter sans remord des situation épineuses que d'avoir à faire face après à quelque chose de pire à cause d'une intervention abusive où d'un trait d'esprit corrosif, voir carrément mal placé. Ah, un truc en plus bon à rajouter à l'attention de ceux qui penseraient encore pouvoir le raisonner, fille où garçons sans distinction évitez de vous retrouver seul dans une pièce la nuit en sa compagnie. D'ailleurs n'importe quel endroit tranquille fera l'affaire. Tout ça pour dire que du moment que vous avez un «joli p'tit cul» vous êtes en danger imminent à moins d'un mètre. Ouais, Nero est pour la parité: quand il s'agit de mettre des bleus où de faire du mal, lui ne fait plus vraiment la différence. Généralement quand il veut quelque chose, il l'obtiens et rarement de manière très chrétienne. Mais ça on s'en fout. «Seul compte le résultat» non?! Bon après il a pas que des défaut. C'est un garçon plein d'humour qui a beaucoup de répondant. Quelques phrases joliment tournées + l'équivalent en bouteilles de rhum vous permettront peut être de vous sortir d'une situation légèrement ennuyeuse et vous éviterez de vous faire taper dessus où pire...Puis comme je le disais ya quelques lignes, une fois que vous avez réussi à percer sa cuirasse de folie, vous avez de bonnes chance de vous être fait un pote qui ne vous lâchera sous aucun prétexte et ce quelque soit la situation. Voilà en gros ce qu'on peut dire de Nero. (5 lignes minimum)[/b]


Aime : La viande, manger en général, dormir, boire, la musique, donc son baladeur, jouer au «scrabble» (je dis bien XD) et d'autre trucs encore moins nets, les vêtements de marque.

N'aime pas : Peu de choses et tellement à la fois

Devises :
«J'suis raciste, j'aime pas les cons...»


Passé (10 lignes minimum) :
Vu que la narratrice était euh... «Sous influence» quand elle a écrit ça au dessus, ya des tas de conneries à mon sujet. J'vais donc reprendre la plume au moins faire en sorte que mon histoire ne soit pas un tissus de mensonge issu d'un cerveau malade! Tout d'abord, je tiens à préciser un truc! J'ai eu une enfance normale, et il ne faut pas mettre mon mauvais caractère sur le dos de mes parents. Sans rouler sur l'or ils avaient de quoi faire vivre la maisonnée et je n'ai jamais manqué de rien. Je ne me suis pas cogné la tête étant petit et ça n'explique rien du tout. Non, je suis juste comme ça. Si on fait pas attention quelques trucs, j'ai pas beaucoup changé dans ce court laps de temps. Si quelque chose d'assez flagrant, même que je me demande si c'est la peine que je le mette: Je suis mort. Aussi surprenant que cela puisse paraître, de là où j'ai l'air aussi vivant qu'avant mon trépas. J'ai moi même du mal à le croire mais c'est comme ça et pas autrement. Des objections?
Bon, je peux continuer alors. Commençons par le commencement si vous le voulez bien et si y'en a que ça dérange, la porte est par ici...Je suis donc né dans une famille relativement normale si on met de coté le penchant prononcé de ma mère pour la bouteille. C'est à croire que même morte, elle a continué de me transmettre ses vices...Si je ne l'étais pas moi même, je dirais qu'elle vient me hanter pour me pourrir la mort. Passons à la figure paternelle. Un brave type accro à la nicotine sans ambition qui a finit par se laisser dévorer par son addiction aux clopes. Donc euh je disais quoi déjà...des parents «normaux». Je suis un peu à coté de la plaque là. Ils étaient pas méchants, mais juste indifférents et englués dans leur quotidien routinier. Dire qu'ils m'ont précédé de seulement 2 mois. C'est pas juste. Absolument pas! Une mère ne devrait pas entrainer ainsi son fils. C'est valable pour le paternel aussi. Je n'éprouvais rien de particulier à leur encontre. Maintenant je les hais! Qu'on en pense ce qu'on veut. Je me fiche totalement de faire figure de fils indigne et égoïste. Mais revenons aux première années de ma vie. C'est dans un petit pavillon que je les ai passées. Le plus souvent seul à rêver d'évasion, quand je ne m'amusais pas à tout casser pour passer le temps où juste à écouter de la musique à longueur de temps. L'école? Très peu pour moi! Les vitre de la salle de classe me semblaient autant de barreaux et d'entraves. Cette vision là n'a pas beaucoup changé au collège où même au lycée. C'était toujours là même ritournelle «Si tu travailles bien, tu réussiras ta vie». Ce qui m'est arrivé est peut être ma faute alors?! Trêve de conneries! Donc, récapitulons
Niveau scolaire: dramatiquement bas
Affection parentale: limitée
Rage: en hausse constante
Pas très glorieux n'est ce pas? Bon d'un autre coté, je ne peux pas dire que sur le moment ça m'ait profondément fait du mal. J'avais juste l'impression de ne pas être comme les autres gosses. Les seules fois où j'ai daigné me rendre en cours ça se finissait invariablement en mêlée générale...le bureau du directeur...les parents qui viennent vous chercher et qui se répandent en excuses...les murs de la chambre où on vous oblige à rester pour méditer sur vos actions...les murs que vous frappez de toutes vos forces. Et puis plus rien. Le sommeil qui vous guettait depuis des heures vous emporte d'un coup et ne vous relâche qu'au matin pour une nouvelle journée pas mieux que les précédentes. Pas pires non plus. Juste horriblement routinière. Et les rêves continuaient de me tourmenter comme autant de charognards qui attendent non loin d'un animal mourant. Je voulais faire le tour du monde, enfin pouvoir faire ce que je voulais. Et le temps passaient. Tous les soirs c'était la même chose. Ma mère rentrait et se mettait à boire, sombrant chaque jours un peu plus dans une torpeur de moribonde. Pourtant elle s'accrochait à la vie et y resterait cramponnée pendant plusieurs années encore. Elle refaisait le monde en se plaignant de tout et restait bien droite dans son fauteuil. Comme je ne l'avais jamais vue autrement, je ne m'imaginais pas autre chose et trouvai ça normal. Un matin, le paternel m'avait pris entre quatre yeux et m'avait expliqué qu'ils partaient pour affaire et que, comme ils n'avaient trouvé personne pour s'occuper de moi, je devrais soit aller vivre chez un de ses lointains cousins où me débrouiller seul à la maison. J'optais pour la seconde option, heureux comme un pape de ne plus les avoir sur le dos. A la question sur la durée de leur voyage, je n'obtenais qu'une réponse évasive et embarrassée
*OK, ils vont se barrer un moment.*
Je pensais ça avec mon point de vue d'un ado' de 14 ans qui s'imaginait déjà braver le peu d'interdit qu'il avait et vivre sa vie. Le lendemain je me levais pour leur dire au revoir et promettre que je serais bien sage, que si j'avais besoin de quoi que ce soit, j'appellerai Mr où madame untel. Hochant pensivement la tête, je les regardais s'éloigner avec un grand sourire. Je ne pensais pas qu'ils ne reviendraient jamais. En attendant, le rythme de mes journées ne changea pas beaucoup et je continuais de les passer avec mon casque vrillé aux oreilles à trainer dans les rues de la ville avec une bande de copains. Quand plus aucune vitrine de magasins de notre quartier ne fût disponible pour tagguer et qu'on ne trouva plus aucun endroit où aller sans se faire invectiver, le temps commença à se faire long. Par désœuvrement, je décidais de me trainer sur les chaises du lycée au moins pour ne pas mourir plus idiot que je ne l'étais déjà. D'après mes profs, j'avais l'intelligence requise, mais aucune envie de travailler ni de ma casser la tête. Ça me convenait très bien comme ça d'ailleurs.
Pour reprendre ce que j'ai dit au début, je n'ai pas eu une enfance normale...Je dirais que c'était encore mieux que ça! J'ai appris la rage et c'est bien ça qui m'a maintenu en vie jusqu'alors.
Jusqu'à ce jour de mars, un des rares où j'étais au lycée. Un des surveillants est entré dans la classe et m'a fixé l'air apitoyé en disant quelques mots au prof' qui avait notre classe en charge, à l'heure fatidique de l'après-déjeuner où tout le monde somnole. Le prof' m'a à son tour regardé et a dit simplement comme si j'étais demeuré
«Nero, tes parents sont...décédés."
La stupeur qui a dû traverser mes traits ne devait pas faire très joli-joli car tout ceux qui s'étaient agglutinés autour de moi se sont targés à des coins opposés de la classe, trouvant soudain quelque chose de passionnant à faire. J'ai appris par la suite que c'est justement mon absence de réaction qui avait flanqué la frousse. Pas une larme, pas un frisson. Juste les yeux braqués sur le messager qui avait annoncé la mort de mes parents. Mon sac sur l'épaule, je me suis levé pour le suivre avec ma démarche habituelle de frimeur. Ça aussi ça a beaucoup fait parler je crois. Le dirlo' m'a fait un long discours sur les dispositions qui seraient prises pour qu'on trouve des membres restants de ma famille qui pourraient m'aider à surmonter cette épreuve et patati et patata. Pas un seul pour comprendre que mes «parents» étaient depuis longtemps devenus des étrangers. Par la suite, j'ai été balloté de familles d'accueils en centres d'hébergements. Le tout émaillé d'un mois où deux en centre de redressement. Pas de quoi fouetter un chat en fait. Le parcours habituel en somme. Je me suis longtemps demandé quel idée j'avais eu de vouloir absolument retourner sur les lieux du décès de ces gens. Je n'ai jamais pu me l'expliquer et je ne pourrais sans doute jamais. Toujours est il qu'un jour j'ai crié haut et fort que je voulais aller rendre un dernier hommage à ma famille et tout un tas de conneries pas tout à fait véridique pour qu'on m'accorde le droit d'y aller. Si j'avais sû, j'serais pas v'nu! Où plus sérieusement, je me serais abstenu de prendre ce foutu avion! Non, mieux j'aurais trouvé un autre moyen de transport.
Paumé devant un panneau d'affichage, je me souviens que j'essayais désespérément de trouver mon chemin dans l'aéroport en tentant de conserver mon calme. C'était carrément pas évident et si je demandais mon chemin, c'était encore pire! Ayant enfin fini par trouver un siège libre dans la salle de transit, j'essayais de ne pas penser au rêve affreux de la nuit dernière. Pas dans le sens où on le croit mais plutôt dans celui où je ne comprenais absolument rien du tout. J'avais atterrit au beau milieu d'un couloir et tous les murs se ressemblaient. Il y avait des portes, des fenêtres, mais elles donnaient invariablement sur d'autres couloirs. Mû par un instinct qui m'était alors inconnu, je me dirigeais comme si j'avais fait ça toute ma vie! J'avais trouvé la sortie mais je ne savait toujours pas comment. Pire de tout, deux portes se dressaient devant. J'avais le pressentiment que je devais absolument en choisir une et que je ne pourrais revenir sur mes pas. La gauche. La porte joua dans ses gonds et je me réveillais dans ma chambre d'hôtel. Un peu plus tard, je me demandais encore ce que signifiait ce rêve en sirotant un verre, assis contre le hublot pas franchement rassuré. Enfin, je prenais le parti de penser à autre chose et de ne plus me préoccuper des turbulences.
Ni de la mer que je pouvais presque att...attendez c'est pas normal ça pourquoi on descend! On est en plein décollage...
Ouais, aussi vrai que vrai! Je me voyais vu en train de m'agripper à mon siège pendant que l'avion plongeait inexorablement vers l'océan. Les cris, les pleurs, les prières et les lumières qui s'éteignaient rien ne m'avait été épargné. Un dernier rebond sur les flots déchainés. Un sourire crispé que j'adressais à on ne sait qui puis le noir complet.
Quand on vous disait que je n'avais pas choisi! Ça au moins, c'était pas des cracks! J'avais pourtant toute la vie devant moi, même si elle se révélait chiante à en crever c'était pas une raison! Tout ça à cause de ces deux pingouins qui se prenaient pour mes parents! C'est en toute mauvaise foi que je dis ça mais c'est leur faute!
Voilà, c'est ma nouvelle «vie» qui commence, enfin d'après ce que j'ai compris. Je vais leur en faire baver moi aux Anges! Non mais sans blague, ils vont regretter que j'ai choisi la porte de gauche tiens!


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Message par Megan B. Ven 6 Nov - 23:24

Bienvenue, présentation validée =D . ~
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Message par Yui Dreams Sam 7 Nov - 3:37

Tu va fouttre la merde toi aussi ? =="

Entre Nocturne (huuhu) et les "autres" on va pas aller loins... ^^"

M'enfin sinon bienvenue ! Et je suis contente que tu sois un Messager, au moins on est ensemble ! Sinon, au passage j'adore ton vava ! (hihi)
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